Aline, à bord d’Edmond de Rothschild : « Ce sont des bateaux extraordinaires ! J’avais déjà eu la chance de naviguer en Imoca, mais sans « moustaches »… J’avoue que là c’est encore une gamme au-dessus, ça mouille toujours autant, ça va très vite ! Ce qui est impressionnant, c’est que l’étrave est de moins en moins dans l’eau, je ne m’attendais pas à ça. Ça va vite ! C’était vraiment magique, c’était un vrai bonheur et une grande chance de naviguer à bord d’un bateau pareil. »
Nadine, à bord d’Initiative Cœur : « C’était mon deuxième Défi Azimut, mais la première fois avec autant de vent ! Il y avait beaucoup de bateaux, c’était magnifique, c’était hyper tonique, le bateau était très penché, il y avait beaucoup de vague, personne n’a été malade, c’était très très bien !
C’était très speed, très sportif, Tanguy donnait les ordres et ils exécutaient. On sentait qu’il y avait énormément d’adrénaline pour ne pas rater les manœuvres et risquer de perdre des places. Il y avait beaucoup d’engagement ! »
Xavier, à bord du Souffle du Nord : « C’était super, impressionnant ! Ce qui m’a le plus marqué c’est l’exigence physique qu’impliquent ces bateaux-là. On a fait une ou deux manœuvres, on était à bout de souffle, et lorsque l’on sait que Thomas part pour trois mois seul, c’est surhumain ! Et en plus, là il faisait beau, chaud, dans le grand sud il sera sur une mer à 4 – 5°C, il sera tout le temps mouillé… J’ai beaucoup de respect et d’admiration pour lui. »